Une tasse de thé sucré oublié …
Les premières traces du kombucha remontent à plus de 2000 ans, sous la dynastie Qin (221-206 avant J.C.). Il était connu sous le nom de « Thé de l’Immortalité » en raison de ses supposés bienfaits pour la santé et la longévité.
Une autre légende attribue la découverte du kombucha à l’Empereur Qin Shi Huang, célèbre pour son obsession de la vie éternelle.
Le kombucha continue à s’étendre dans le monde et c’est au Japon et en Corée qu’il apparaît, grâce à un médecin coréen du nom de Kombu, qui l’aurait apporté à l’empereur japonais Ingyo en 414 après J.C. pour soigner ses troubles digestifs.
Au début du 20ème siècle, le kombucha arrive en Russie et en Europe de l’Est, où il est connu sous divers noms, tels que « kvas de thé » ou « champignon de thé ». La boisson a été adoptée pour ses propriétés probiotiques et détoxifiantes.
Au départ, le kombucha est consommé davantage sous sa forme vinaigrée car plus riche en bonnes bactéries pour booster l’immunité. Il se buvait en petite quantité, idéalement le matin.
Aujourd’hui, la boisson se décline en mode « soda », en plusieurs saveurs, et se retrouve dans le monde entier, surtout présente en Amérique et en Asie du Sud-Est. Il conquiert bientôt l’Europe et la France.
Comme pour les brasseurs de bière, il y a différentes manières d’appréhender le brassage de kombucha, et chaque brasseur a ses propres recettes uniques et incomparables.
Chez Cybulle, on privilégie la douceur et une légère fermentation, en gardant un peu de sucré, en survolant l’acidité et en créant des recettes gourmandes et goûteuses.